Tous mes voeux de gourmandise pour cette année 2008 ! Retenez une date : le 17 janvier…
De retour de Budapest, voici quelques extraits à savourer…
Le Café New York est redevenu l’un des plus fastueux café de Budapest. Entre les années 1900 et 1930, le majestueux café réunissait toute la fine fleur des arts et de la littérature. Après avoir connu les affres de l’histoire hongroise (bombardé, incendié…), le manque de fonds et d’entretien, il a réouvert ses portes en 2006, après des années de travaux sous la houlette d’un riche groupe italien. Aujourd’hui, nous dirons qu’il réunit la fine fleur des touristes… que tous les guides le mentionnent et que la file d’attente peut dangereusement s’allonger, surtout après le déjeuner et à l’heure du goûter (les spécialités de café et de chocolats chauds y sont très tentantes). Sous les plafonds ornés de multiples dorures et de scènes galantes, les stucs et les marbres, à l’heure du déjeuner…
J’attaque avec le goulasch national, ce bouillon réchauffé par le paprika, dans lequel ont mijoté quelques pommes de terre, des carottes, des oignons, de la viande de boeuf (dans ce cas précis, tous coupés en dés) et des petites pâtes moelleuses qui reposent dans le fond. Ca réchauffe, ça tient au corps, c’est délicieux (jusqu’à la dernière goutte à saucer avec les morceaux de pain bien entendu, enfin, ça, ça n’engage que moi). Remarquez le côté impressionniste du goulasch, les dés de pommes de terre qui remontent à la surface et la lumière qui se reflète font penser à des touches de pinceau, un vrai tableau !
La coupe de gâteau censée me faire découvrir la pâtisserie hongroise (c’était le tout premier dessert commandé à Budapest). Par quoi commencer, un biscuit, sorte de génoise, haché et mêlé à du chocolat fondu (qui me faisait douter de sa nature industrielle), des fruits frais pas tous de saison (la suite me montrera que les budapestois aiment poser des fruits frais de toutes saisons sur leurs desserts), des biscuits croustillants (ceux qu’on trouve plantés dans les coupes de glace) et cette crème chantilly très, très dense et à peine sucrée (que l’on retrouvera à plusieurs reprises). Une sorte d’embrouillamini de dessert, pas franchement convaincant… Vivement la suite.
Café New York
Erzsébet körut 9-11, VIIe
www.newyorkpalace.hu
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bonne année Caroline
Merci Chrisos ! A toi également !
Original! Des fêtes de fin d’année dans le Grand Est!
Tous mes voeux Caroline!
En espérant que 2008 nous fera nous rencontrer pour partager et parler d’éventuels projets!
Bien à toi
Ah ben zut, 1er message de l’année, et voilà il n’est pas posté!
Alors je réitère! TOUS MES VOEUX POUR 2008 Caroline!
En espérant que cette année nous fera nous rencontrer!
Bien à toi
Bonne année également… Une suite de petits plaisirs pour remplir votre corbeille de bonheur, et surtout beaucoup de santé !!! J’ai hâte de découvrir la suite…
Amicalement Violette
Excellente année Caroline !!!! Tous mes voeux 🙂
Eliz, Violette, Suiksuik, merci pour vos voeux.
Eliz, tu peux retenir la date du 24 janvier. Violette, je peux d’ores et déjà vous dire qu’elle devrait être remplie d’un joli petit paquet nommé Le Mignot… la suite dans quelques jours.
Un petit paquet « Le Mignot » ??? Quel mystère !!! c’est palpitant de venir vous lire… J’attends donc patiemment ;o) Bonne soirée
Zut de zut de zut…Du 24 au 27 je suis porte de Versailles pour un salon de la Mode…..
En espérant trouver une date pour un déjeuner ou un diner en ta compagnie….
bien à toi
Violette, vous n’êtes pas au bout de vos surprises.
Eliz, le 24, c’est à partir de 18h… et ça durera quelques heures.
Je n’ai pas été franchement convaincue par les desserts hongrois (pas fan de la crème, il faut dire). En revanche, en buvant du chocolat chaud à Budapest, j’ai compris pourquoi mon ami hongrois peste en buvant notre liquide aqueux dans les cafés parisiens …
Fiso, ça remonte à loin maintenant, sacré jeu de mots en tout cas ! Du côté des chocolats chauds parisiens, pas faux.