Un film ravageur, tant par l’interprétation des acteurs que par l’histoire, vive et touchante. Tout le film contribue à vous donner envie, à ressentir, à vibrer. Vous en ressortez épuisé, avec une seule envie : dévorer un couscous au poisson…
La Graine et le Mulet, d’Abdellatif Kechiche, en salle depuis le 12 décembre.
ca n’a rien avoir mais hier,je suis allé manger chez les anges (http://www.chezlesanges.com) dans le 7ème : tres belle carte des vins,bien ramassée avec quelques bonnes affaires comme ce chablis 1er cru fourchaume à 50 €, un tres beau saint aubin « dent de chien » que je ne connaissais pas (je connais plutot les « en remilly » moins minéraux) à 50€ et puis on a fini par un chassagne topissime (hé oui,on étais 3 ;o)
je ne l’ai pas vu sur ton site, ça vaut le détour avec une cuisine assez nette, sans chichi et très abordable : j’ai pris quelques palourdes farcies, un joli ormeau coupé dans sa coquille (ça m’a un peu rappelé l’huitre pied de cheval de gagnaire) et une bonne sole toute simple
tu me diras ce que tu en penses
ps : et après,comme d’hab, on s’est achevé au « café thoumieux » rue saint dominique avec leur vodka arrangées maison
Merci pour ce joli compte rendu, et non, je n’y suis pas encore allée, j’y remédie vite, promis !
Un superbe film effectivement. La bande annonce ne m’avait pas mis l’eau à la bouche pourtant, face à l’écran géant, force est de constater le talent d’A. Kechiche et la finesse des acteurs. Courez-y !
Un défaut (mineur): le couscous est sûrement l’un des acteurs phares de ce long métrage. Mais pourquoi nous abreuver de bouches ouvertes en train de macher la semoule ou de grains collés autour des lèvres ?… Réaliste, certes, mais peu esthétique…
Aude, je comprends et en même temps, c’est là la tradition toute orientale et sensuelle qui se joue autour d’un couscous. J’y vois de la gourmandise et du plaisir à savourer avec les doigts.