Bonhomie, c’est un lieu hybride, accessible au petit-matin à l’heure du café, au déjeuner, au dîner, en soirée (pour de savants cocktails)… Moi je l’ai découvert à l’heure du déjeuner. La salle particulièrement vaste se découvre sous différents angles. L’immense bar, la salle du restaurant avec ses grandes tables que l’on peut éventuellement partager (mais sans trop de proximité), la cuisine ouverte devant laquelle sont installées quelques tables et assises façon diner américain (et qui sont à la fois cachées par le bar, c’est très bien vu). Les matériaux respirent la douceur, bois roux, cuir, bronze, teintes claires, étagères remplies de fleurs séchées ou de légumes...
Je réalise que c’est la troisième fois dont je vous parle du Café Constant, sauf que les deux premières remontent sacrément (2007 et 2009). J’en avais gardé un bon souvenir et après ce 3e repas, je vous recommande tout autant l’adresse. Rue Saint-Dominique en plein VIIe, un jour férié (le lieu est ouvert 365 jours/365, respect), avec des prix comme ceux-ci, en se pointant pour le dîner à 20h30, il y a suffisamment de tables qui tournent pour que l’une s’offre à vous. Au RDC, j’en étais ravie comme la toute première fois. On a vue sur le comptoir, les serveurs dynamiques et souriants, l’activité de bar et de bistrot, les allées et venues d’une jolie panoplie, touristes, jeunes...
Siseng, « asian food bar », une nouvelle adresse sur le Canal Saint-Martin avec des spécialités qui aiguisent ma curiosité : des burgers à base de bao, ces brioches cuites à la vapeur (dévorées chez Yam’Tcha il y a quelques semaines), entre autres suggestions d’inspiration japonaise, vietnamienne, américaine… Première impression : c’est tout petit ! Quand on est deux ou trois et qu’on partage une table, c’est agréable. Quant on est seul et donc installé au mange-debout-assis, c’est à dire face à mur sur un tabouret, on sait tout de suite que le temps qu’on avale son repas, on repartira aussi sec. Sauf que les photos des tours du XIIIe de Paris accrochées au dessus de ma...
Depuis Rice & Fish il y a quelques années, je ne crois pas avoir testé de nouveau restaurant mono maki à Paris. Jusqu’à ce qu’une amie me parle de Blueberry et que je vois en photos les petits ogres gonflés au riz et aux couleurs qu’elle avait choisis. De gros makis, à la bonne tenue et à la composition qui fait saliver, j’étais tentée. Réservation faite vendredi soir dernier chez Blueberry, 6 rue du Sabot, Paris VIe. Un comptoir aux allures japonaises dans l’entrée précède des salles et un bar à la lumière plus ou moins tamisée, rosée, diffuse (personnellement, je préfère voir nettement ce que je mange, je privilégie donc toujours la table ou la salle la plus éclairée). Mobilier...
Ce midi au Café Constant… Il y avait des plats du jour appétissants (velouté de potiron, éclats de marron et petits croûtons en entrée, rôti de porc et compotée au foie gras en plat et en dessert, vous le saurez bien assez tôt !), des supporters écossais qui s’enfilaient des litres de bière en terrasse (calme et bon enfant, je le précise), un habitué qui leur remettait une tournée, deux ouvriers qui prenaient leur kir apéritif et des tas de gens comme moi, qui déjeunaient seuls et qui s’en donnaient à coeur joie pour parler avec la serveuse, le voisin ou commenter les supporters-buveurs de bière… Les brèves de bistro y allaient bon train, « ah oui, les écossais, ils sont sympas »,...