Cette semaine, j’ai eu l’occasion de retourner déjeuner chez Sauvage (Paris VIe). Oh mince alors, je viens de voir que ma première fois avait eu lieu un 3 juin, il y a donc presque un an jour pour jour. En même temps, on s’en fiche… Tout ce que ça fait, c’est que j’aime décidément passer le printemps là-bas. Les fleurs, les herbes, la vie marine, l’huile en pointillés juste là où il faut, le pain hautement parfumé, je me suis à nouveau régalée de la simplicité de Sauvage. Un lieu toujours de bois vêtu, de bouteilles aussi (qui se vendent à emporter) et d’une cave à fromages. Il y a une vingtaine de places assises, des conseils affûtés, du caractère et de la souplesse...