Breizh Café ouvre sa deuxième adresse à Paris. Vous connaissez mon amoooooour immodéré des galettes et des crêpes ? Dès que je suis en Bretagne, ça sonne comme une évidence, je dois manger une galette suivie d’une crêpe et boire du cidre. Breizh Café est une enseigne que j’aime beaucoup, jusqu’à (presque) programmer Saint-Malo en vacances pour avoir le plaisir de retourner au Breizh Café et d’aller faire un tour à Cancale pour avoir vue sur mer au Breizh Café et pourquoi pas monter à la table japonaise… Bref, je suis un peu monomaniaque de la galette Breizh Café. Après l’adresse du Marais ouverte il y a 10 ans, voilà qu’une adresse carrefour de l’Odéon voit le jour. En...
Je vous ai déjà fait part de mon amour des galettes et des crêpes et donc de la crêperie, particulièrement pendant les vacances et en Bretagne où je trouve que le sarrasin, l’andouille (de Guémené) et le caramel au beurre salé revêtent une saveur particulière (c’en est un peu le berceau). A Paris, c’est assez rare que j’y aille. Et puis une amie m’a dit du bien de La Petite Bretonne qui avait récemment pris la place de Cul de Poule, 53 rue des Martyrs. Les patrons n’en sont pas à leur première puisqu’il y en a trois autres à Paris (toutes dans le XIVe). Les clins d’œil à la Bretagne sont mignons, vieilles photos, tissus à motifs sur les table, bolées dans le style des bols...
Le Breizh Café créé par Bertrand Larcher, un Breton amoureux des galettes et du Japon : je connaissais celui de Paris, simple et goûteux, sans me faire faire de bonds. Signée Bertrand Larcher aussi et visitée il y a 3 ans, la Table Breizh Café à Cancale avec son comptoir et ses plats entre France et Japon exécutés par un chef japonais inspiré, un endroit magique. Et puis sur les recommandations de mon amie (toujours celle qui m’a indiqué la route du chocolatier Johann Dubois à Dinan), je vais déjeuner au Breizh Café qui a ouvert il y a quelques mois à Saint-Malo. Deux fois en 24 heures pour être honnête, tant ce fut bon. Il fait froid et humide ce midi-là, à peine entre-t-on que la chaleur des billig nous...