Pas de coup de blues ce matin, mais comme une émotion grandissante. « J’ai vu des cacaoyers », cela peut paraître anodin pour d’autres, pour moi, c’est une réalité qui s’impose à mesure que le temps passe depuis mon retour d’Equateur samedi dans la nuit. Journaliste, croqueuse et passionnée de chocolat, je ne le verrai plus jamais de la même façon. J’ai souvent la chance de revenir aux origines du produit, boudin noir basque, Mont-d’Or franc-comtois, pêche à l’omble-chevalier… Le chocolat, très honnêtement, je n’aurais jamais imaginer cela possible. Ce qui était impensable est pourtant arrivé : moi, des plantations, des ouvriers, de la chaleur, de l’humidité, des cabosses et des fèves par milliers. Maintenant ici, c’est comme un rêve que j’ai vécu.
Invisibles pour un oeil non averti, elles étaient pourtant bien là
Les cabosses magnifiques.
Pour cette occasion très spéciale, je vous prépare un film. Quelques images et impressions pour vous donner l’eau à la bouche, avant le reportage photo qui paraîtra dans l’une de mes collaborations…
Le film, le film !!
J’espère que tu as goûté la chair blanche de ces cabosses, c’est quelque chose que j’ai découvert à l’âge de 6 ans en Côte d’Ivoire, et dont je me souviens encore! Bon séjour!
Cookie, ton rêve est exaucé !
Patrick, oh que oui et c’était incroyable, j’en garde un peu pour le reportage photo dans le magazine 😉